Le secteur manufacturier canadien compte des centaines de branches spécialisées, allant de la production d’aliments surgelés aux composants automobiles. Ensemble, elles forment un moteur économique de première importance. À titre d’exemple, voici les revenus annuels de certains de ces sous-secteurs :
Au cœur de ce vaste ensemble se trouve la transformation de viandes, bœuf et volaille – l’une des branches les plus volumineuses et les plus structurantes pour la chaîne agroalimentaire nationale. Ce rapport lui est consacré tout en rappelant qu’elle s’insère dans un écosystème manufacturier immensément diversifié.
Trois indicateurs résument la taille et la dynamique actuelles du sous‑secteur :
Valeur totale des ventes réalisées au Canada.
Rentabilité nette obtenue malgré la hausse des coûts d’intrants.
Expansion moyenne au cours des 5 dernières années.
À court terme, la croissance du secteur devrait ralentir sous l’effet des fluctuations des prix des aliments pour bétail, des pressions sanitaires (grippe aviaire, BSE) et d’une concurrence plus vive des protéines végétales.
Les entreprises les plus performantes consolident leurs approvisionnements, investissent dans l’automatisation et valorisent la traçabilité pour répondre aux attentes croissantes en matière de durabilité. À plus long terme, l’accès aux marchés d’exportation – particulièrement grâce aux accords commerciaux récents – et la capacité à innover dans les gammes à valeur ajoutée détermineront la part de marché des acteurs.
Trois indicateurs résument la taille et la dynamique actuelles du sous‑secteur :
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